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La difficulté

Jusqu’à présent, la barrière hématoencéphalique (BHE) a entravé le développement de nouveaux agents destinés à traiter les maladies du cerveau et du système nerveux central (SNC). La BHE joue le rôle de gardien naturel du cerveau, empêchant l’entrée des substances étrangères tout en autorisant l’accès sélectif de certaines molécules essentielles au métabolisme, telles que le glucose, l’insuline et l’hormone de croissance.

Le transport d’agents thérapeutiques jusqu’au cerveau a été tenté de multiples manières avec des taux de réussite variables. L’une des méthodes consiste à « faire passer » un médicament pour une molécule traversant naturellement la BHE. Ces tentatives consistant à modifier une molécule active connue pour qu’elle remplisse les critères (taille, charge, liposolubilité) nécessaires pour franchir la BHE se traduisent par une diminution de l’activité de la molécule ou son incapacité à atteindre la cible. Ainsi, les benzodiazépines, telles que le Valium, traversent la BHE, mais cette approche thérapeutique n’est plus activement explorée.

 Regardez une vidéo montrant que les tentatives consistant à « maquiller » une molécule pour la faire entrer dans le cerveau ne sont pas idéales.

 

 

 

Une approche thérapeutique idéale consisterait à utiliser le propre système de transport du cerveau pour franchir la BHE de la même manière que d’autres molécules comme l’hormone de croissance ou l’insuline. La plateforme scientifique mise au point par Angiochem permet de développer des médicaments qui empruntent précisément cette voie.
 

Regardez une vidéo illustrant l’approche optimale pour traverser la BHE, à savoir considérer celle-ci non pas simplement comme une barrière, mais comme une interface dynamique pour le transport des substances actives jusqu’au cerveau.

 

 

> Découvrez l’approche d’Angiochem